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26fév13
Des chefs d'opposition refusent d'arrêter la violence, Moscou perplexe
Le fait que certains leaders d'opposition en Syrie refusent d'en finir avec la violence laisse perplexe, a indiqué mardi le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Alexandre Loukachevitch.
"Le rejet par certains leaders d'opposition d'une possibilité d'en finir avec la violence et les souffrances du peuple syrien en établissant des contacts sans préalable avec le gouvernement est difficile à comprendre et suscite un profond regret", lit-on dans le commentaire de M.Loukachevitch.
Selon le diplomate, dans le cadre d'un tel dialogue, il serait possible de résoudre l'ensemble des problèmes désignés dans le Communiqué de Genève, de rétablir le calme et la sécurité sur le sol syrien, de garantir "le maintien d'une Syrie souveraine et unie où tous les groupes de la population, indépendamment de leur appartenance ethnique et confessionnelle ou de leurs sympathies politiques, vivraient en liberté dans un contexte de paix, de stabilité et de démocratie".
"Nous poursuivrons les efforts nécessaires pour aider les Syriens à atteindre cet objectif", lit-on dans le texte.
Devenue guerre civile, la révolte en Syrie se poursuit depuis mars 2011. Selon les Nations unies, le conflit a déjà fait près de 70.000 morts. Les autorités syriennes indiquent qu'elles luttent contre des combattants bénéficiant d'une aide étrangère.
[Source: Ria Novosti, Moscou, 26fév13]
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